Avant de commencer la randonnée en vélo je passe quelques jours du coté de Gavarnie avec Dominique pour une petite randonnée pédestre en attendant que mon vélo arrive à la gare de Pau. Nous sommes allés de Pau à Lourdes en Bus puis de Lourdes à Gavarnie avec le même transport. Nous nous installons pour quelques jours au refuge des Espuguettes. Sur la photo de gauche une vue plongeante sur le cirque de Gavarnie. A droite une mer de nuage au-dessus le la vallée.

Le lendemain nous descendons dans le cirque de Gavarnie et sur la photo de gauche on voit la brume qui se lève dans le cirque. Ayant quelques jours plus tard retrouvé mon vélo à Pau je quitte la ville le 29 août et je vais faire un tour à St-Jean-de-Luz, je fais une halte sur le chemin au bord du Gave, photo de droite, je ne sais plus trop dans quel village. Si un internaute reconnait le coin il peut me le signaler.

Le lendemain 31 août, arrivée à St-Jean-de-Luz dont on voit la plage, photo de gauche. J'en profiterai pour me baigner. Puis retour vers les montagnes en passant par St-Jean-Pied-de-Port, photo de droite. Je continuerai par le col d'Aphanize (1044 m).

Sur la route du col du Pourtalet on passe devant un petit lac, ici à gauche, je pense qu'il s'agit du lac de Fabrèges. Sur la photo de droite le paysage tel qu'on le voit ensuite en approchant du col.

Enfin je passe le col, photo de gauche à 1794 m, qui fait la frontière avec l'Espagne ce 5 septembre. J'arrive donc dans la province espagnole de l'Aragon, photo de droite où vache et mouton m'accueillent. Le soir je camperai à Biescas.

Le lendemain 6 septembre je démarre les cols pyrénéens du coté espagnol et je commence par le col de Cotefablo (1423 m). Sur la photo de gauche, dans la descente un village dont je ne me souviens pas du nom. A droite un autre village dont on se demande s'il est bien habité.

A gauche vue de la route qui longe la vallée vers Ainsa où je camperai. A droite un village visiblement en ruines dans la vallée.

Le col suivant prévu est celui de Foradada (1020 m) que je franchirai le lendemain matin 7 septembre, pour aller grimper dans la vallée de Benasque, route qui est un cul de sac dans le cirque de la Maladeta. Sur la photo de droite la route passe dans un petit cañon.

Ce même jour je camperai à Benasque dernière ville dans la vallée et après avoir posé mes affaires au camping et monté ma tente je continuerai la montée dans la vallée sans les bagages, photo de gauche. J'irai jusqu'au lac photo de droite.

Le lendemain 8 septembre j'ai de la pluie et je descends la côte monté la veille jusqu'au village de Bisautri où je m'arrête pour le pique-nique de midi, photo de gauche l'église qui abritera mon casse-croûte. J'attendrai que la pluie passe pour attaquer le prochain col, le col de Fadas (1470 m) puis le col Espina (1407 m). Je camperai le soir à Pont de Suert. Le lendemain départ pour le prochain col et j'en profite pour faire une photo du lac à la sortie de la ville, photo de droite.

Je viens d'atteindre le col convoité, photo de gauche, le col de Perbes (1350 m). On remarque sur mon vélo la serviette qui sèche sur le sac arrière. Sur la photo de droite un village dans la descente du col, probablement le village de Sarroca de Bellara.

Je rejoins la vallée sur la route de Baro, photo de gauche, avant d'attaquer le col de Cantó (1725 m) sur le panneau, mais 1600 m sur ma carte, photo de droite.

Le lendemain 11 septembre je rentre dans la principauté d'Andorre dont on voit la capitale sur la photo de gauche, Andorra la Vella et une vue de la place principale photo de droite.

Je ne resterai dans la capitale que le temps d'un pique-nique et d'une visite rapide avant de continuer dans le col. Il n'y a qu'une route pour traverser Andorre. Sur la photo de gauche une vue de la ville derrière moi. Je camperai le soir à Canillo dont on voit une vue sur la photo de droite.

Le lendemain 12 septembre j'attaque le plus haut col des Pyrénées et de la randonnée, le col d'Envalira. Sur la photo de gauche le paysage dans le col et à droite arrivée au col à 2407 mètres avant midi.

La photo de gauche est prise du haut du col et l'on voit le célèbre village du Pas-de-la-Casa où tous les touristes viennent acheter de l'essence détaxée. Je n'ai jamais vu autant de pompes rassemblées dans un village. A droite dans la descente du col après la frontière, la vallée qui conduit à l'Hospitalet, mais je ne prendrai pas cette direction.

Il me faut continuer de monter aussi je passe le col du Puymorens (1915 m) mais je rassure le lecteur de ce coté là la montée est courte et plutôt facile. J'irai camper à Font-Romeu, ce qui me fait monter, et j'en profite pour photographier le célèbre four solaire d'Odeillo au passage.

Le lendemain 13 septembre sera un jour de longue descente. Sur la photo de gauche une vue de la plaine prise de Font-Romeu, mais cette plaine est à plus de 1000 mètres d'altitude. Sur la photo de droite passage du col du Calvaire de Font-Romeu, le seul col que je passerai dans la descente. Un col étant un passage entre deux vallée rien n'empèche une route d'être plus haut que le col. C'est ce qui se passe ici Font-Romeu étant à une altitude plus élevée.

Sur la photo de gauche une vue de la descente interminable. Le soir je camperai à l'Ille-sur-Têt, et le lendemain j'en profiterai pour visiter les célèbres Orgues, photo de droite, curieuses formes dues à l'érosion.

Entre l'Ille-sur-Têt et Amélie-les-Bains je passerai encore deux cols dont le col Fourtou, photo de droite. Un petit pique-nique dans un champ me permet de voir cette curieuse sculpture en bois sexuée, photo de gauche, vers Boule d'Amont.

Sur la route d'Amélie-les-Bains je passe encore un petit col, le col Xatard (752 m), photo de gauche. A droite une vue d'Amélie-les-Bains dans la vallée, ville où je passerai la nuit au camping ce 14 septembre.

Le lendemain 15 septembre retour en Espagne pour passer deux nouveaux cols, le col du Perthus (271 m) qui me conduira à Llançà sur la côte méditerranéenne, puis retour en France par le col des Balistres (170 m) duquel on voit, sur la photo de gauche un beau panorama. Passage à Perpignan pour la nuit, Narbonne, Montpellier qui me conduira encore à gravir un petit col que je connaissais pas, le col de Cardonille entre St-Martin de Londres et Gange, photo de droite. J'aurais l'occasion de refaire ce col 4 ans plus tard en 1997, autre année de randonnée à laquelle on peut se reporter.